LA PAUVRETÉ COMME ESCLAVAGE

LA PAUVRETÉ COMME ESCLAVAGE

     Le contrôle de l’État et de son pouvoir législatif a été confié à une classe de riches créditeurs monopolisant la terre et la propriété.

     La richesse est addictive et mène à l’excès qui les pousse à chercher la richesse par des manières qui blessent les autres.

     Une oligarchie mercantile et créditrice réduit l’ensemble de la population au clientélisme, aux liens de dette et de servitude.

     Une oligarchie de créditeurs a pris le pouvoir et concentre la propriété de la terre et des biens entre ses propres mains. Pour des objectifs de relations publiques, elle prétend être une « démocratie » – et dénonce toute régulation protectrice de l’État comme étant, par définition, une « autocratie ».

     Une oligarchie accro à la richesse émerge et prend la forme d’une aristocratie héréditaire.

     Faire des débiteurs et des clients une classe héréditaire, dépendante des riches créditeurs, est ce que les économistes d’aujourd’hui appelle un « libre marché ». C’est un marché sans freins et contrepoids publics contre l’inégalité, la fraude et la privatisation du domaine public.

     C’est ainsi qu’une république oligarchique se développe, menant à son inévitable déclin et à sa chute.

     L’administration fait tout son possible pour détruire la conscience des problèmes de la dette qui affligent les économies.

     Alors que les dettes peuvent être effacées et, dans les faits, nécessitent d’être effacées pour empêcher les économies de tomber en dépression.

     L’oligarchie financière a pour idéal de s’approprier le monde entier.

     Les esclaves d’hier sont les pauvres d’aujourd’hui.

     Les voleurs de vie sont armés de pauvres.