30 Août 2023
La révolution est permanente.
Tout le monde mérite son pays, quelques soient les efforts que chacun peut offrir, la farine de chacun fait le pain.
Il n’y a pas de citoyens défavorisés, aucun chômeur, et surtout pas de « laissés-pour-compte-insuffisant » - car tous seront sauvés d’un naufrage causé par ceux qui pensent mériter davantage par imagination et par violence.
La grandeur d’un pays se mesure au nombre de dons échangés entre les citoyens.
L’honneur est la grandeur de la curiosité qu’un pays, ou qu’un individu, accorde à chaque citoyen.
Les frontières sont misère, et la misère la pire des violences des guerres entre propriétaires voleurs de la Terre et destructeurs de la Vie, qui interdisent l’Amour et font de la Beauté un crime.
L’hospitalité est politesse de l’amour.
L’amitié est l’égalité entre les amis.
La tolérance est la meilleure civilité.
Les armées font les guerres. Les civils construisent la paix.
Aucune armée n’a jamais protégé un peuple.
L’ennemi est une invention. Aucun peuple ne veut la guerre à un autre.
Les armées sont constituées de pauvres qui défendent les intérêts des voleurs de la Terre.
Désobéir est le courage des braves.
La liberté s’apprend.
Les armées sont donc inutiles.
Un seul héros, l’amoureux de la vie.
Une seule héroïne, l’amoureuse de la vie.
La révolution est permanente.
Adalbert Gaufiloys