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Le blog de Pierre Montmory

BIO - PIERRE MARCEL MONTMORY - TROUVEUR

BIO - PIERRE MARCEL MONTMORY - TROUVEUR

« Les gens de mon quartier me disent :"Tu es notre poète", quel honneur, je n'ose pas me présenter ainsi car je trouve cela prétentieux mais, bon, le public a ses raisons ». P.M.Montmory

* Gaston Bellemare (directeur du festival international de poésie de Trois-Rivières-Québec) : « Tu es à la hauteur et la grandeur de ce qu'il y a dedans chaque mot. Je t'apprécie, belle et grande bête de  solitude partagée ».

* Jack Lang – ancien ministre de la culture et président de l’Institut du Monde Arabe à Paris :

« Cher Monsieur Pierre Marcel Montmory, merci pour vos messages et bravo pour votre engagement qui permet à toutes et à tous de profiter de la magie de la poésie dans la belle ville de Montréal. »

Cadeaux : 

Des artistes bénévoles au service du peuple - c'est à dire au service de tout le monde !

À partager !

**** Le plus beau journal gratuit de poésie ! 

***** Déposé en PDF à la Bibliothèque nationale du Québec.

****** Imprimé à 20.000 copies et distribué à Montréal * versions numériques ici : 

******** lien Facebook pour la collection complète des journaux de Poésie La Vie

https://www.facebook.com/media/set/?set=a.1735974033447023&type=3  

- vidéo gratuite à copier et à partager -

BIO - PIERRE MARCEL MONTMORY - TROUVEUR

TROUVEUR

     Le mot Trouveur, signifie dialectalement : celui qui trouve le dit, « celui qui a le dit ». Le terme représente à la fois un personnage ainsi qu’une fonction, et son usage demeure propre aux régions humaines.

     Le Trouveur est un conteur populaire rattaché à la geste humaine (chansons et contes de transmission orale), il a fait son apparition avec les nomades.

     Le Trouveur relate les prouesses du héros humain dans les en- droits à large diffusion : places publiques, lieux de culte, marché hebdomadaire. Il déclame, à l’aide d’un manuscrit, son récit philosophique de manière attrayante et emphatique, et qui peut également faire à l’occasion office de dépêche. La tradition du Trouveur est ancrée dans une réalité sociale et politique, car il incarne l’esprit qui veille sur le « vivre ensemble ».

     « Il exagère à outrance les parties de son récit qui provoque l’étonnement et l’exaltation de ses auditeurs, et le ponctue de poèmes, de chansons et de danses. »

     Ces récits épiques sont souvent attribués à d’illustres historiens et plumes humaines - en vue de gagner en crédibilité. Le Trouveur est un humain errant, qui récite des pièces de poésie, des contes sur les places publiques. Il ne craint ni la pluie, ni le soleil, ni la poussière des grands chemins et pérégrine en n’ayant qu’un but : ramasser l’argent nécessaire à la réalisation de ce vœu cher à tout bon humain : le voyage pendant toute sa vie sur la planète Terre, le plus beau pays dans l’Univers. Le Trouveur est parfois accompagné d’un(e) ou plusieurs compagnon(e)s qui constituent le chœur et l’orchestre, et ils vivent ainsi de leur talent.

     Lorsque le Trouveur arrive dans une localité quelconque, il s’installe sur une place, le jour du marché et réussit bien vite à réunir un fort groupe de spectateurs Les amateurs de poésie, d’invocations imaginaires, de contes, accourent immédiatement aux appels bruyants du Trouveur et le cercle d’auditeurs se forme rapidement. Le Trouveur commence d’abord par invoquer la Nature si vénérée des vagabonds, des nomades ; il racontera avec des gestes, l’Histoire officielle ou des facéties, des exploits et des aventures.

     Chacun de ses récits sera entrecoupé de poèmes, de chansons et de danses, et aussi d’invitation au public à rémunérer le conteur : « Comme le veut bien la tradition, nous passerons parmi vous avec notre chapeau, et, à votre bon cœur mesdames et messieurs ! ».

BIO de Pierre Marcel MONTMORY 

– Trouveur –

(Né le 30 Octobre 1954 à Paris)

     Dès l’âge de dix ans, j’ai été élevé et éduqué par différentes familles d’artistes qui m’ont initié à tous les métiers du théâtre.

     Dès l’âge de seize ans j’avais ma propre compagnie de théâtre et gagnais ma vie à côté comme régisseur général, comme comédien et comme responsable d’un centre de loisirs pour enfants durant quatre années, puis comme directeur technique de différentes compagnies et artistes prestigieux.

     De 1970 à 1978, j’étais aussi acteur de ma compagnie le Théâtre Tréteaux Tribune (« Comment faire un théâtre qui soit en même temps les tréteaux d’une tribune » Meyerhold). Nous étions les héritiers du Groupe Octobre (Jacques Prévert et compagnie) et jouions sur les places et les marchés des spectacles d’agit-prop - mais nous montions aussi des pièces classiques et modernes dans des théâtres. Nous avions des commandes des syndicats et d’associations qui nous donnaient un thème et nous étions libres de tout pour aller jouer dans les entreprises. Nous avons eu aussi commande par la FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes) sur le thème de « Qu’est-ce que résister ? »). Le public qui nous connaissait dehors nous suivait dedans et nous ne connaissions jamais de salle vide ! Tous issus de milieux différents, la passion nous réunissait. J’étais le seul de la compagnie qui gagnait sa vie dans le spectacle avec un autre ami qui lui était administrateur. Aussi j’ai organisé toutes ces années la régie technique dans des festivals que nous avons créés de toute pièce dans des coins où rien ne se passait jamais… Et, bien sûr, j’ai travaillé chaque année au festival d’Avignon où j’ai vu les pionniers à l’œuvre. J’étais avec des géants ! On m’offrait des ponts d’or que je déclinai pour rester avec ma compagnie. (Barrault, Chéreau, Mnouchkine ont voulu m’engager, et, peu de temps avant son départ, Jacques Canetti voulait m’embaucher pour être le « patron » d’un spectacle que je devais monter avec les textes de Prévert et puis, au Mexique, on m’a proposé le poste d’attaché culturel… Mais j’étais déjà capitaine !).

     Il m’est arrivé d’écrire et de monter des spectacles en quelques jours… J’ai une énergie fabuleuse ! Dans tous mes spectacles il y a ma musique, mes chansons, mes pantomimes et tout le reste (textes, décors, costumes, maquillage, photo, éclairages) suivant ma fantaisie car je pratique tous les arts du théâtre.

     Ceci pour vous dire que je suis devenu un spécialiste du plein-air, là où tout naît et part et revient ! Toute la culture humaine et l’art de vivre !

     Pour le reste, j’ai travaillé avec quelques magnifiques artistes mais je faisais aussi beaucoup d’argent avec des bourgeois pour des foules embourgeoisées…

     Jusqu’en 1980 j’ai travaillé pour les autres afin de parfaire mon métier et dans le seul but de faire tout tout seul en créant MON théâtre ! Alors j’ai plaqué le milieu et travaille depuis à plein temps pour ma pomme et, comme j’ai la classe et que je suis doué, je me permets tout. Je joue sur les places et dans les lieux de vie et parfois je suis invité dans des théâtres en dur, chez des bourgeois, dans des cours de rois, et mes mécènes sont de toutes les bourses !

     Aujourd’hui j’ai quelques empêchements physiques, je ne peux plus voyager… Mais je peux encore jouer ma musique avec ma guitare et interpréter encore mes textes et pendant longtemps pousser ma goualante et écrire à tout va !

     Ce que je ressens maintenant c’est que nous devons nous rassembler autour de quelque-chose qui symbolise la joie de vivre toujours. Nous devons rassembler nos ancêtres que les violences colonisatrices ont reléguées aux oubliettes.

     Ce que je ressens c’est que nous, les peuples, c’est-à-dire tout le monde, nous avons plus que jamais besoin de retrouver notre dignité dans l’accomplissement des gestes simples du vivre ensemble.

     Ce qui fait nous autres, c’est : se sentir vivre, dans le passage obligé de l’éternité, entre les minutes mécaniques des travaux et des jours.

     Réinstaller nos horizons infinis devant la ruine des murs aveugles des soumissions et ouvrir le ciel à nos morts inconsolés.

     Naître sans peur.

     Vivre sans peur.

     Mourir sans peur.

     J'en suis encore à aujourd'hui et à ce que je fais de bien maintenant.

LES GENS ONT FAIM

     Les gens ont faim, la vie appelle, je reste avec le monde qui inspire ce que je me dois d’écrire, les muses me guident exclusivement et le scribe que je perfectionne - comme un outil, traduit en lettres avec syntaxe appropriée à mon sujet, traduit le Monde pour le monde.

     Je me dois de trouver des paroles qui vont sur les places, dans les lieux de vie. Je me dois de capter l’attention par les sons, les images produites par l’assemblage des sons, la réflexion par le déchiffrage du dire, la compréhension de la parole offerte en don, et avec des gestes qui ouvrent tous les horizons possibles à la curiosité et, enfin, dans cet échange momentané, cette création spontanée de ma relation au Monde, faire sens du présent qui nous est offert en éternité comme seul cadeau - d’un paradis que nous cherchons tous à nous approprier, et alors je dis, je chante, tandis que le sable coule de nos mains, que l’ eau emplit nos bouches et que le feu brûle nos cœurs, tandis que nous nous retrouvons sur la trace éphémère du cercle où je porte parole, au monde du Monde, et où le monde se refait.

www.poesielavie.com
     POÉSIE-LA-VIE est destiné à l'éducation populaire.
     Et est administré par des enfants héritiers de la Résistance.

     On y parle de sujets d’actualité avec de vrais journalistes, d’authentiques philosophes, des aventuriers et artistes de toute la culture humaine. Vous n’y trouverez aucune propagande partisane ou religieuse. Toute forme de violence y est exclue.

     Nos sujets d’étude et de réflexions : L'Humanité, La paix. La liberté, L'amour, L’art de vivre. De la protection des femmes. De nos enfants. Des déserteurs. Du rire. De la santé. De la beauté du monde. La liberté comme droit. La non-violence comme devoir. De la sagesse !

     À VOUS ! Vous êtes inspiration ! Vous êtes responsables ! L'amour en soi oblige la volonté à occuper sainement notre paresse naturelle.

     Au travail, les artistes ! La rue meurt de vos silences ! Que les pouvoirs gardent les ruines et que poussent les ronces dévorantes ! Au travail ! On part à pieds avec le vent dans les mains. Pétris de certitude que l'éternité est là, et que sa rumeur sous nos pas s'enfonce dans le sable. Nulle trace que ce verbe qui ne meurt jamais que si l'on lui laisse le pouvoir de se taire.

« Les gens de mon quartier me disent :"Tu es notre poète", quel honneur, je n'ose pas me présenter ainsi car je trouve cela prétentieux mais, bon, le public a ses raisons ». P.M.Montmory

ÉDUCATION POPULAIRE POLITIQUE et CULTURE

     La culture sert plus qu’à reproduire les rapports sociaux, voire à confirmer l’écart entre les riches et les pauvres.

     L’intelligence politique des citoyens – leur capacité à critiquer et non pas à approuver – n’est plus jamais requise dans les procédures dites « de participation ».

     Les spécialistes confisquent et écartent le peuple hors de l’espace public. Le peuple n’est plus autorisé à produire du sens, il y a une mise à mort.

     Nous sommes des citoyens critiques, et donc politiques.

     Il y a l’envie de faire et d’apprendre.

     Il y a des gens qui sont là pour développer une pensée critique; il y a une effervescence intellectuelle où tout le monde cogite, un bouillonnement incroyable, et l’impression d’être un adulte et que ce que nous disons compte. Nous n’arrêtons pas de proposer des choses, de modifier les discours : nous sommes tous chercheurs et trouveurs.

POÉSIE DANS LA CITÉ

LA CRIÉE DE POÈMES

     Loïc Lalouette : « Ce matin, comme chaque matin, je me nourris de quelques vers. Un poème, c'est plonger dans l'univers du poète. Pierre Marcel Montmory, un grand Ami de Félix Leclerc, un immigré au Québec, en provenance de Varsovie, est un homme-vent, qui écrit à l'encre rare de l'indignation, pense comme je pense depuis mon enfance. Ses mots me réconfortent, m'apaisent car ils me font oublier ceux des " menteurs drogués au pouvoir et à l'argent ". Si je ne suis pas un homme libre comme l'oiseau, faute d'avoir des ailes pour construire mon nid, il me plait de croire que je suis un homme-vent, plus que jamais la tête en l'air, les pieds sur terre. Et quand je lis l'auteur à propos des identités et du nationalisme exacerbé, je comprends mieux pourquoi je suis heureux partout où j'ai décidé librement de vivre. " Le locataire sans terre a toutes les maisons sous le toit du ciel ».

-           La poésie est dans tout et dans tout le monde.

     Les gens qui se prétendent artistes devraient exercer dans les milieux de vie, sur les places publiques, dans les cafés... devant tout le monde, il faut redonner sa première place au poète et au grand public. La première qualité d'un artiste est le don de soi aux autres, le don sans intérêt. Aimer pour aimer, chanter pour chanter. La poésie se donne ! Et peu importe la quantité si la qualité demeure. La mer est un grand encrier où chacun peut y tremper sa plume et s’envoler avec son chant d'oiseau par-dessus les clôtures des cultures. Les mouettes n'ont pas de sépulture parce qu'elles n'ont comme drapeau que l'écrin du ciel et vont comme des dieux dans le vent de l’éternel.

     Les véritables poètes ont reçu don gratuit à leur naissance et, vivants avec nous, leur génie leur souffle le poème quand ils sont inspirés par les muses. Et ce que je viens de dire est de la poésie parce que la poésie est le synonyme de la vie.

     J’ai la volonté de porter parole au milieu de mon peuple avec les mots du jour. Des mots qui surgissent de moi en images et qui me dictent l’urgence du dire.

     La culture humaine n’est pas un jeu récréatif mais l’art de vivre lui-même, et le poète véritable est celui qui paraît là où on ne l’attend pas - et le poète est celui qui repousse le mal, guérit, nous charme, provoque l’amour.

     LA CRIÉE DE POÈMES doit servir la parole en ces temps de communication où le banal, le convenu et l’idiotie généralisée font consensus dans une langue qui inclut une mise en abîme de silence et l’oppression systémique de l’individu face au troupeau.

     La communication, dans notre art de vivre, dans le commerce humain, existe lorsque le poète et le grand public sont au centre du cercle et que l’interprète dit ce qu’il se doit de dire quand il est temps.

     Place au poète qui, sans tambour ni trompette, sans permis ni courbette, déambule et crie : la vie !

     La poésie dans la cité est affaire de poète.   

     Poésie La Vie est une association de fait réunissant plusieurs milliers de participants du monde entier dont de nombreux artistes qui travaillent pour les générations futures. Artistes bénévoles au service du bien commun. Artistes le plus souvent anonymes. Nous sommes dans nos œuvres et nous sommes dans la vie.

Poésie et science sont inséparables.

Le savant et le poète sont la même personne.

BIO 2 P.M.MONTMORY

     Je suis venu la première fois au Québec l’été 1994 avec ma femme, Anna-Rita Torelli (1968-2010), la comédienne qui a créé le rôle de Chiffon dans les contes musicaux « La farandole » et « La bamboula » écrits et composés par moi-même sur mesure pour elle, et pour moi, le poète qui rêve sur la place. 3h30 de spectacle, un véritable festival ont dit les québécois, joué 45 fois au Carré Saint Louis avec notre petit théâtre portatif, 45 jours de beau temps devant des milliers de gens avec la joie de vivre, d’aimer et d’être aimé. Puis comme nous avions été invités nous sommes revenu l’hiver et, jusque la fin Décembre nous avons fait une grande tournée guidée par les amis et nous avons donné dans des écoles, des Cégeps, des associations.., et puis début Janvier nous sommes partis au Mexique.

     Nous étions venus pour avoir un pied à terre en Amérique car nous connaissions l’Europe, l’Afrique du Nord… et moi, un peu l’Orient, et nous voulions explorer ce continent… Des grands artistes nous ont aidés à nous installer… Au Mexique les mexicains ont découvert notre art et nous ont fait jouer pendant trois mois presque tous les jours ! Et, là je fus nommé attaché culturel à l’ambassade de France, propulsé entre autres par madame l’ancienne ambassadrice du Mexique en France !.... Bien sûr je refusai ce poste honorifique car je ne peux appartenir à personne qu’à l’Humanité…

Puis nous avons fait une nouvelle tournée dans Paris (« La farandole » a été vue par un million de spectateurs l’année de sa création… des parrains et mécènes nous ont payé la location de beaux théâtres mais nous avons beaucoup joué aussi sur les marchés des quartiers)…

     Quand nous fûmes acceptés par l’administration nous nous installâmes à Montréal et là, nous avons apporté dans nos bagages sept spectacles à tourner, j’ai donné des cours, organisé les soirées du Cabaret des Trouveurs à l’Union Française, participé à plein de trucs… Écrit une poignée de bouquins (sous pseudonymes), des romans populaires pour la grande édition qui me payait largement.

     J’ai composé beaucoup de musique – au Mexique, j’ai joué devant deux des plus grands guitaristes du pays qui m’ont invité chez eux…

     Mais, dans mes bagages j’avais ramené du Mexique une méchante bactérie qui a fini par me mettre sur le carreau et, en 2010 j’ai joué le vrai malade et presque la mort pendant longtemps à l’hôpital, et encore plus de temps à me remettre sur pied…

     Aujourd’hui, les médecins me disent que si je fais attention, je peux vivre encore trente ans, ça fait que … j’ai annulé mon enterrement, désolé.

     Je ne peux plus voyager ni faire le singe sur la piste mais j’ai d’autres métiers dans le corps.

     J’ai écouté Félix Leclerc quand j’étais tout petit et j’ai lu aussi pas mal de littérature du Québec. En 1977, je crois- je ne marque pas les dates, j’ai fait la régie éclairages pour Félix en tournée autour de Paris. J’ai pris avec lui mille cours !

      Alors, maintenant, me voici vagabond devenu sédentaire comme bien de mes amis gitans. Et c’est dans mon quartier de Montréal que j’ai décidé de planter ma graine… Les muses y sont affriolantes.

UNE VIE D’ARTISAN

     J'ai créé un site poesielavie.com et je suis éditeur des textes que je signe de mon nom depuis toujours (1971), je fais tout : écriture (évidemment!) correction, mise en page, maquette... et le tout déposé pour la lecture et en copie libre - sous forme de livres numériques à la Bibliothèque nationale du Québec sous mon nom d'éditeur Pierre Marcel Montmory Éditeur. Pour mes ouvrages commerciaux, j'ai toujours un pseudonyme... On fait du fric si on est un vrai artisan... Faut payer le navire et les matelots ! ... Maintenant, j'ai imprimé moi-même à mes frais quatre journaux de mes poèmes que je fais distribuer dans Montréal (tirage à 10.000 exemplaires)... Faut se prendre en main si on veut être édité et joué... Fini le temps des éditeurs intelligents et directeurs artistiques avec les beaux théâtres que dirigeaient les vrais artisans en complicité avec les vrais poètes savants ! ...

     Faut aller sur les places et reconstituer le cercle de la parole si l'on est savant poète. Les prétendants artistes ont oublié que leur art est né dehors et qu'ils ne peuvent éduquer notre peuple qu'au milieu de lui en replaçant sur scène le poète et le grand public, qu'il ne sont que de modestes artisans interprètes placés entre le mystère de la vie et le poète savant - s'ils sont nés avec ce savoir reçu en don gratuit par la nature seulement et ils seront nommés poètes que par la voix du toutim qui reconnaîtra en eux le don offert et par-là la curiosité envers leurs autres (comme le rêvait Jean Vilar) … mais, les gouvernements ont récupéré ce rêve et ont transformé l'éducation populaire en un vulgaire divertissement à consommer en silence. Les élites bourgeoises ont confisqué nos outils pour s'entendre eux-mêmes marivauder en se regardant le nombril. Bref, les véritables artistes sont aussi rares qu'un pois chiche dans un tas de sable…

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Un peu beaucoup de poésie par un artisan de l'île de la Terre, le plus beau pays dans l'Univers :

(Livres numériques gratuits à copier et à partager)

http://www.poesielavie.com/2020/03/livres-numeriques-gratuits.html

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LA LANGUE DE L’AMOUR

(Poèmes dits aux amoureux) :

https://www.youtube.com/playlist?list=PLy1NCra653VNJBZ7zVtLMe7riOsEobqYv

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LE CHEMIN DU BRUIT DES VAGUES (Récital de Pierre Marcel Montmory trouveur)

https://www.youtube.com/playlist?list=PLy1NCra653VMgcHJpnmPsQ10s5i3aANl3

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Musiques de films imaginaires - Musiques pour les enfants

(Composés et interprétés par P.M.Montmory)

https://www.youtube.com/playlist?list=PLy1NCra653VNSNpCGhgjaWQhbx_Yz2dpr

 

   Voici le journal gratuit Poésie La Vie en version numérique.

   Notre journal est aussi imprimé à vingt mille exemplaires et distribué dans les rues de Montréal au Québec (28 x 28 cm - en couleurs - et sans publicité).

   Nous donnons des récitals gratuits de nos musiques poèmes et chansons tout au long de l'année.

   Nous vous souhaitons le meilleur, la santé !

Pierre Marcel MONTMORY trouveur

C’est au nombre de ses dons échangés et à la grandeur de sa curiosité que l’on mesure la grandeur d’une civilisation et la grandeur d’un être humain.

BIO - PIERRE MARCEL MONTMORY - TROUVEUR
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- journal gratuit à copier et à partager -

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BIO - PIERRE MARCEL MONTMORY - TROUVEUR

Pierre Marcel Montmory, artisan

     Biographie : je suis un organisme biologique; je possède un bureau d’étude dans ma tête - équipé de capteurs que sont mes cinq sens; j’ai des outils au bout des bras; et un moyen de transport dans mes jambes. Vous me trouverez dans mes ouvrages et dans le cœur de mes amis.

     Je ne raconte pas ma vie, je n’ai pas le temps et je ne révèle pas non plus mes chemins ; je ne livre pas le nom de mes amis.

     Je n’ai comme ambition que de vivre en paix, en santé, avec la joie de vivre. Je n’ai point de désir puisque je jouis comme je respire.

     Art : synonyme du mot : métier. Ainsi, par exemple, j’ai appris à écrire comme Victor Hugo et aujourd’hui j’écris comme un enfant. Un écrivain est un artisan qui doit avoir mille plumes pour se mettre au service du peuple.

     Un artiste est quelqu’un qui a reçu un don gratuit à la naissance et qui doit l’offrir au peuple.

     Peuple : synonyme de : tout le monde.

     Dans l’exercice avec le public, l’artiste apprend la  technique  du don et en retire des connaissances pour affiner son art.

     Le don gratuit rapporte à l’artiste des amis. L’artiste qui  gagne des amis possède un pays. Parmi ses amis, certains lui commandent des ouvrages et parfois ses amis le rémunèrent.

     Je ne suis engagé dans rien ni par personne. Je n’ai aucune idée ou croyance. Je n’écris pour personne, je n’écris pas pour un parti ni pour une cause. J’écris avec le monde, j’écris avec les gens et j’écris avec moi-même.

     Je compose tous mes ouvrages avec mon cœur pour guide et je compose tous mes ouvrages avec ma seule raison comme aide. Et j’aime ma compagnie, même quand je suis seul.

     Peu importe mon nom, peu importe d’où je viens, peu importe mon savoir, peu importe mon âge, peu importe la vérité, peu importe où je demeure, peu importe combien j’ai d’argent, peu importe qui je suis et comment je suis arrivé ici ; ce qui importe c’est cette rose, fraîche ou fanée, que je t’offre, sans raison.

     De la main à la main, de cœur à cœur. Une rose avec ses épines.

BIO - PIERRE MARCEL MONTMORY - TROUVEUR
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