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Le blog de Pierre Montmory

CHRONIQUES DU DERNIER JOUR

 Nous sommes poètes pour l’aventure de naître, de vivre et de mourir.

Nous sommes poètes pour l’aventure de naître, de vivre et de mourir.

     Tous les êtres humains sont cultivés par ce qui les rassemble: leurs peines, leurs joies et leur destinée.

     Nous aimons et nous souffrons de la même manière.

     Le mal de dent, le mal d’amour, la joie de vivre, la jalousie, l’adversité, la mort, la naissance, le froid, la faim, la misère, l’abandon, les retrouvailles, l’amitié, la peur et la haine, la curiosité et le rêve sont le commun des humains.

     Nous sommes tous une humanité, une terre à défricher, des graines à semer, des moissons à récolter.

     Nous connaissons tous la brûlure du soleil, la caresse du vent, la douceur de l’eau, la poussière de la terre.

     Nous sommes savants qui inventons des réponses aux questions de notre imagination.

     Nous sommes poètes pour l’aventure de naître, de vivre et de mourir.

     Notre vie est cadeau de l’éternel présent.

 

Pierre Marcel MONTMORY trouveur

 

     Les œuvres d’art :

     À quoi servent-elles ? Sont-elles vraiment utiles au bonheur de l'Humanité ?

     Sont-elles bonnes pour obtenir justice ?

     Participent-elles à la construction d’une paix universelle ?

     Repoussent-elles le mal ?

     Guérissent-elles ?

     Provoquent-elles l’amour ?

 

+ + +

 

     Elisabeth Aigle Pêcheur Hille :

     L'art nous conduit par la contemplation de la beauté à la méditation, à l'amour aussi car tout ce qui est beau anoblie notre cœur et notre âme, et guérit nos blessures ! Et l'amour engendre un désir de paix avec nos semblables. L'art est un moyen de communication donc de partage et de guérison. L'art comme l'amour viennent de Dieu ! Tout ce qu'Il a créé est parfait, et Il fait de nous des créateurs !

     Nicole Charfoulet :

     Tout ce qui est inutile est indispensable.

     Therese Portelli :

     En ces temps de misères omniprésentes, de violences aveugles, de catastrophes naturelles ou écologiques, parler de la beauté pourra paraître incongru, inconvenant, voire provocateur. Presque un scandale. Mais en raison de cela même, on voit qu'à l'opposé du mal, la beauté se situe bien à l'autre bout d'une réalité à laquelle nous avons à faire face. Je suis persuadé que nous avons pour tâche urgente, et permanente, de dévisager ces deux mystères qui constituent les extrémités de l'univers vivant : d'un côté, le mal; de l'autre, la beauté.

     Karima et Solen des Éditions Métagraphes :

     Nous avons découvert avec votre manuscrit la densité de ce dernier autant que la diversité des sujets qu’il aborde.  Nous avons remarqué la qualité de votre écriture, dans sa langue, sa construction, son rythme, ou le travail sonore.

     Cette longue réflexion poétique menée est à la lecture largement nourrie par le travail précis de l’écriture, mis en relation avec la forme et la structure du texte, d’une certaine complexité d’ailleurs, le manuscrit ayant quelque chose d’hybride et échappant toujours un peu à la compréhension globale et au propos univoque. 

     La critique contenue dans votre texte lui permet des résonances fortes, en particulier dans le champ de la critique anticapitaliste, de classe et du travail et de la dénonciation de la misère, de la précarité, de l’inégal partage des richesses.

     Cette critique est en même temps emmenée par ce qui peut s’apparenter à un espoir humaniste, ouvert, une énergie à donner et partager pour poursuivre d’autres pistes – et en particulier dans le champ de l’art et de l’écriture, avec un accent sur la place des artistes (dans les rues, dans les vies) qui nous a marquées.

     Par ailleurs, une certaine ironie se fait entendre régulièrement, qui permet de garder une dimension souriante dans ce texte et lui évite des lourdeurs et des gravités parfois induites par les thèmes abordés.

 

CHRONIQUES DU DERNIER JOUR
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