LA COCAÏNE

LA COCAÏNE,

TRANQUILISANT SOCIAL,

DÉLOGE

LA PENSÉE POLITIQUE CRITIQUE

Afin de lutter contre la pensée critique, ennemie du système, nous avons la consommation de cocaïne.

Une drogue tient la jeunesse, l’empêchant de se révolter en modifiant profondément son cerveau grâce à cette substance qui rend impuissant le peuple conscientisé.

Résultats : un recul du mouvement social et des mobilisations populaires.

La drogue vendue comme une « libération », voire une « émancipation », comme on dit alors dans les milieux «branchés», est utilisée contre la révolte éventuelle, et elle est un formidable moyen de faire taire les éléments les plus conscients.

Pour les clients, la consommation de cocaïne est vécue comme une chose «normale», «allant de soi». Mais il faut bien le dire : la cocaïne détruit le cerveau. La drogue, partout où elle passe, il ne reste plus rien.

La cocaïne détruit l’intelligence, y compris chez les personnes très intelligentes.

La cocaïne remplace toute critique. Toute velléité de «changer le monde». Critiquer est chassé du paysage intellectuel. Considéré comme «inutile». Toute notre meilleure conscience politique du moment est mise à la poubelle. La cocaïne remplace la raison de vivre de nombreux citoyens.

«La vraie vie» est remplacée par la survie : le divertissement par la cocaïne : pédophilie, viol, inceste, et toutes les perversions «devenu la norme».

Résultat : la dégringolade de l’intellect, la décadence intellectuelle grâce à la paresse de volonté et à la timidité morale de citoyens devenus clients de la société de consommation. Le degré zéro de la pensée !

La (non) pensée microscopique et la (non) pensée risible des «communicants» modernes.

Personne ne dénonce la dégringolade de la pensée.

Eugène Étic