30 Avril 2020
DANS LES PAYS ENRICHIS
GRÂCE À
L'APPAUVRISSEMENT DES AUTRES :
La réclusion forcée se poursuit dans son mal.
La pandémie exacerbe les discriminations déjà présentes.
Le mal insidieux et sournois s’en prend plus aux plus vulnérables.
Les inégalités augmentent dans le quotidien et pourrissent la vie confinée. Ici, l’espace vital réduit. Là, l’absence de connexion Internet pour se divertir ou faire les devoirs. Là encore, les carences alimentaires ou affectives.
La pandémie exacerbe les discriminations et les injustices.
Un immigrant pauvre a plus de chance d’être marginalisé.
La crise renforce les structures sociales de discrimination.
La persistante division raciale joue dans la pandémie.
Rester à la maison dans un appartement confortable en distanciation sociale et y recevoir des paquets surconsommés sur Amazon est un privilège.
Le virus ne frappe pas tous les individus de la même manière.
Difficultés énormes pour les itinérants ou les personnes âgées.
Certains enfants n’ont pas accès à de la nourriture.
La catastrophe fait reculer l’égalité hommes-femmes, la violence familiale est à son comble.
Les politiques favorisent la classe moyenne.
Les citoyens pauvres ne font plus partie de la société élitaire.
La révolution de la faim.
Si les pauvres meurent.